lundi 24 février 2014

Ces objets dont la nouveauté est déterminante -la grande ville, la masse - ne sont pas visés en tant que tels par Baudelaire. La mélodie qu'il a en tête, c'est le satanisme, le spleen et l'érotisme déviant, et non ces objets. Les véritables objets des Fleurs du mal se trouvent en des endroits discrets. Ce sont, pour rester dans la métaphore, les cordes jamais effleurées de l'instrument inouï dont joue l'imaginaire baudelairien.

Le labyrinthe...

Le jeu de hasard, la flânerie, la collection - des activités utilisées pour combattre le spleen.